L’intuition peut naître de l’expérience, de l’observation ou de l’empathie. C’est un levier précieux en phase d’idéation, mais elle montre rapidement ses limites face à des cas d’usage complexes, des profils utilisateurs variés ou des enjeux business critiques.
👉 “Je ne l’aurais jamais imaginé, mais c’est là que les utilisateurs bloquent.” Si tu as déjà entendu (ou dit) ça après un test utilisateur, tu sais de quoi on parle.
Chez Wolfox, on structure chaque projet autour de trois piliers :
Plutôt que d’opposer intuition et méthode, on les marie avec soin. L’intuition permet d’explorer, la méthode permet de confirmer. C’est ainsi qu’on passe d’un bon feeling… à une vraie amélioration de l’expérience utilisateur (et du taux de conversion).
Des chercheurs comme Daniel Kahneman (prix Nobel d’économie) ont montré à quel point notre cerveau peut être biaisé. Le fameux biais de confirmation nous pousse à chercher des preuves qui confortent nos intuitions, pas à les remettre en question.
📖 Thinking, Fast and Slow — Kahneman, 2011
C’est pour ça que la recherche UX rigoureuse est essentielle : elle neutralise les angles morts et éclaire les décisions.
En résumé, en UX, l’intuition ne suffit pas. Pour concevoir des interfaces qui fonctionnent vraiment, il faut observer, tester, ajuster. Encore et encore.
Et c’est exactement ce qu’on fait chez Wolfox.
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