1. L’effet tunnel : quand le parcours utilisateur perd l’internaute
Un site peut être beau, rapide, bien référencé… mais ne pas convertir. Pourquoi ? Parce que l’utilisateur se perd ou abandonne en chemin. Sur mobile, un formulaire trop long ou un menu trop chargé peut faire fuir. Sur desktop, un call-to-action mal positionné ou un tunnel d’achat trop rigide peut faire perdre un panier.
👉 À faire : cartographier les étapes du parcours et identifier les frictions (temps de chargement, étapes inutiles, informations manquantes…). Chez Wolfox, on utilise des outils de tracking anonymisé (comme Hotjar ou Matomo) et surtout des tests utilisateurs pour qualifier ce qui gêne réellement.
🔗 À lire : Repenser un tunnel de conversion sans tout casser : méthode pas à pas
2. L’effet vitrine : quand le design ne sert pas la conversion
Un site peut être très « joli » mais totalement inefficace. Le design ne doit pas être décoratif, mais orienté action. Un exemple fréquent ? Des pages produits ultra esthétiques, mais qui noient l’ajout au panier. Ou un header vidéo impressionnant… mais qui ralentit la navigation.
👉 À faire : recentrer le design sur les objectifs business. Cela passe par une bonne hiérarchie de l’information, une lisibilité optimale, et une interface claire, accessible, rassurante.
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3. L’effet data manquante : quand les décisions sont déconnectées des usages
Refondre sans analyser, c’est comme repeindre une vitrine sans savoir pourquoi personne n’entre. Trop de sites sont modifiés sur des intuitions ou des retours ponctuels. Un vrai travail UX commence par comprendre les usages réels, les motivations et les blocages.
👉 À faire : collecter des données qualitatives (entretiens, feedbacks, questionnaires…) et quantitatives (KPIs, analytics) pour éclairer les choix de design. Un accompagnement UX structuré permet de dégager rapidement des pistes à fort impact.
🔗 À lire : Audit UX : comment identifier ce qui bloque la conversion sur votre site
4. L’effet surcharge : quand trop de choix tue l’action
L’utilisateur veut aller vite. Lui proposer 12 boutons, 8 messages marketing, 6 offres en même temps est souvent contre-productif. Le cerveau humain valorise la clarté, la cohérence, la simplicité.
👉 À faire : appliquer des principes d’UX Writing et de design d’interaction clairs. Travailler les micro-copies, limiter les distractions, structurer les pages avec des zones visuellement différenciées.
🔗 À lire : L’UX Writing au service de la conversion : micro-copies, maxi-impact
5. Le facteur confiance : un levier souvent sous-estimé
Un site peut être ergonomique et lisible… mais si l’utilisateur ne sent pas de garanties, il ne passera pas à l’action. Des mentions légales invisibles, un design daté, un paiement perçu comme peu sécurisé : tous ces détails freinent la décision.
👉 À faire : travailler la réassurance à chaque étape du parcours (avis clients, preuves sociales, labels, mentions RGPD…). C’est particulièrement vrai en B2C, mais aussi dans les univers professionnels.
Et maintenant ?
Si vous avez lu jusqu’ici, c’est sans doute que vous vous posez (vraiment) la question : pourquoi mon site ne convertit pas ? La réponse est rarement unique, et toujours contextuelle. C’est pourquoi, chez Wolfox, nous menons un diagnostic UX personnalisé avant d’intervenir.
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