Au-delà des discours parfois dignes d’un épisode de Black Mirror, l’étude s’intéresse à ce que ces technologies changent vraiment dans la pratique des agences : collaboration, partage de compétences, rôle du designer…
Spoiler : l’IA générative n’est pas une baguette magique, mais un outil supplémentaire dans la boîte du designer.
L’étude rappelle une évidence trop souvent oubliée : l’IA ne “pense” pas comme un humain. Elle génère, combine, extrapole. Mais les compétences clés du design — comprendre un contexte, un besoin, un utilisateur — restent profondément humaines.
👉 Traduction : Midjourney ne remplacera pas vos ateliers de co-création.
Là où l’IA brille, c’est dans la production rapide d’options, de variantes, de pistes visuelles. L’étude souligne qu’elle agit comme un “booster d’idéation” : en quelques secondes, vous avez dix directions au lieu d’une.
Référence utile : les sciences cognitives montrent depuis longtemps que la quantité nourrit la qualité (cf. Osborn, 1953 sur le brainstorming). L’IA ne crée pas mieux que nous, mais elle multiplie le nombre de billes dans le sac.
Au lieu de craindre l’IA, l’étude encourage à la voir comme un assistant d’exploration.
Un peu comme un microscope pour un scientifique : il n’invente rien, mais il permet de voir plus loin.
👉 Chez Wolfox, on pense que l’IA est une formidable opportunité de :
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Finalement, l’étude nous rassure : non, l’IA ne va pas signer la fin du design. Elle va simplement changer la manière dont on travaille, un peu comme Photoshop en son temps.
Le rôle du designer reste intact : écouter, observer, traduire en expériences utiles et inclusives.
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