Parce que ce qu’on ne mesure pas n’existe pas. Et dans un monde numérique en expansion constante, la sobriété devient un choix de design stratégique. Chaque kilobyte compte : selon le Shift Project, le numérique représenterait entre 3 et 4 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre, et ce chiffre augmente d’environ 9 % par an.
Or, un site web trop lourd, mal optimisé, mal maintenu ou mal pensé, c’est autant de ressources gaspillées — côté serveur comme côté utilisateur. Et c’est là que l’éco-conception prend tout son sens.
Voici quelques incontournables (et testés par notre équipe !) :
💡 Dans le cas de la refonte du site du Département de la Seine-Maritime, nous avons intégré un suivi de l’impact écologique dès la conception. Résultat : un site plus léger, plus accessible et plus rapide. L’éco-conception ne se voit pas toujours, mais elle se ressent.
Au-delà des scores bruts, posez-vous ces questions :
Un site léger, rapide, épuré, c’est aussi une meilleure expérience utilisateur. Vous réduisez les temps de chargement, vous améliorez l’accessibilité (notamment pour les connexions lentes ou les utilisateurs en mobilité), vous optimisez le SEO — et vous faites du bien à la planète. Que demander de plus ?
👉 Envie d’aller plus loin ? On vous explique comment intégrer l’éco-conception dès les premiers wireframes dans cet autre article.
En résumé, l’éco-conception, ce n’est pas un effet de mode. C’est un engagement mesurable, un levier UX, un facteur SEO, et un acte concret pour un numérique plus responsable. Et chez Wolfox, on ne s’en contente pas de l’écrire — on le fait.