On réduit souvent l’éco-conception web à :
C’est utile. Mais ça ne suffit pas.
L’impact environnemental d’un site se joue en grande partie dans :
Et tout ça… se décide au moment des wireframes.
→ On ne duplique pas 10 fois les mêmes blocs dans des sous-pages.
→ On réfléchit à un parcours clair, avec le minimum d’écrans utiles.
→ Moins d’étapes = moins de clics = moins de chargements = moins d’émissions.
→ C’est bon pour la planète et pour la conversion.
→ Dès le wireframe, on pense à la lisibilité sans effet graphique.
→ Pas besoin de 3 scripts parallaxes et d’un loader 3D pour engager l’utilisateur.
→ En phase UX, on challenge le contenu. On garde l’essentiel.
→ Moins de texte inutile à charger = moins de données transmises.
Non, intégrer l’éco-conception ne signifie pas faire des sites moches, tristes et tous pareils.
Ça signifie poser des contraintes intelligentes :
👉 Un bon wireframe éco-conçu est un gain de temps pour toute la suite du projet.
Sur la refonte du site du Département de la Seine-Maritime, nous avons intégré l’éco-conception dès l’étape UX.
Résultat :
Et surtout : aucun compromis sur l’accessibilité, la performance ou l’élégance visuelle.
L’éco-conception ne se décrète pas à la fin d’un projet. Elle se construit dès les premières maquettes filaires, quand tout est encore ouvert, souple, modifiable.
Chez Wolfox, on conçoit dès le départ des interfaces plus sobres, plus intelligentes… et plus respectueuses de l’environnement.
→ Envie d’intégrer l’éco-conception à votre prochain projet ?
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